L'Ukraine a annoncé avoir abattu, jeudi 21 mars, plus de 30 missiles russes visant Kiev, première attaque d'ampleur contre la capitale depuis janvier survenant après que Moscou a juré de se venger de bombardements en territoire russe.
"Tous les missiles ont été abattus dans la région de Kiev", a indiqué l'armée de l'air, précisant que parmi les projectiles, il y avait deux missiles balistiques Iskander et Kinjal ainsi que 29 missiles de croisière tirés par des bombardiers stratégiques.
Selon la présidence ukrainienne, 13 civils ont été blessés dans plusieurs quartiers de la ville.
Les débris des missiles, en retombant, provoquent dégâts et victimes à chaque bombardement.
Après l'attaque, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a appelé les Occidentaux à avoir la "volonté politique" d'aider son pays à faire face à la Russie en livrant plus de systèmes anti-aériens.
"Cette terreur se poursuit jour et nuit. Il est possible d'y mettre fin grâce à l'unité mondiale (...) Cela est tout à fait possible si nos partenaires font preuve d'une volonté politique suffisante", a-t-il indiqué dans une publication sur les réseaux sociaux réclamant spécifiquement des défenses antiaériennes comme les Patriots.
Recrudescence des attaques sur le territoire russe
Cette première attaque d'ampleur contre Kiev et sa région depuis janvier intervient alors que l'Ukraine a multiplié les frappes sur la région frontalière russe de Belgorod en particulier, en réplique à l'invasion russe, signifiant au Kremlin que son territoire n'est pas à l'abri de la guerre. Les responsables russes, le président Vladimir Poutine en tête, ont juré de se venger de ses frappes.
"Tous les missiles ont été abattus dans la région de Kiev", a indiqué l'armée de l'air, précisant que parmi les projectiles, il y avait deux missiles balistiques Iskander et Kinjal ainsi que 29 missiles de croisière tirés par des bombardiers stratégiques.
Selon la présidence ukrainienne, 13 civils ont été blessés dans plusieurs quartiers de la ville.
Les débris des missiles, en retombant, provoquent dégâts et victimes à chaque bombardement.
Après l'attaque, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a appelé les Occidentaux à avoir la "volonté politique" d'aider son pays à faire face à la Russie en livrant plus de systèmes anti-aériens.
"Cette terreur se poursuit jour et nuit. Il est possible d'y mettre fin grâce à l'unité mondiale (...) Cela est tout à fait possible si nos partenaires font preuve d'une volonté politique suffisante", a-t-il indiqué dans une publication sur les réseaux sociaux réclamant spécifiquement des défenses antiaériennes comme les Patriots.
Recrudescence des attaques sur le territoire russe
Cette première attaque d'ampleur contre Kiev et sa région depuis janvier intervient alors que l'Ukraine a multiplié les frappes sur la région frontalière russe de Belgorod en particulier, en réplique à l'invasion russe, signifiant au Kremlin que son territoire n'est pas à l'abri de la guerre. Les responsables russes, le président Vladimir Poutine en tête, ont juré de se venger de ses frappes.